mardi 25 août 2009

---

J'ai cru un instant que tout allait bien. Le ciel ne me refusait pas un sourire, les lumières de la ville s'approchaient des fenêtres pour s'y chamailler. J'ai cru un instant que tout allait bien, dans la chaleur moite des draps d'été où tu n'étais pas.
C'est une larme qui m'a noyée aux trois premières notes. Et les reflets des autres au dehors se sont faits durs. Ma voix s'est brisée ; j'ai étouffé mes mots.
Mon coeur s'est fendu comme le plus triste des refrains.